Recyclage du matériel de vape en Nouvelle-Zélande

Vapingpost nous narre ici une initiative fort intéressante même si elle a lieu à des milliers de kilomètres, en Nouvelle-Zélande.
En effet, dans ce magnifique pays, un professionnel de la vape, Vapo And Alt, a décidé de s'associer avec une entreprise de gestion des déchets, TerraCycle.
Le principe est simple, les vapoteurs néo-zélandais qui souhaitent faire recycler tous leurs matériels de vape peuvent l'envoyer gratuitement à TerraCycle qui se charge de l'opération. De plus, Vapo and Alt a promis de verser à chaque kilo recyclé un dollar à l'association Sustainable Coastlines, qui lutte pour la préservation des côtes néo-zélandaises.

J'ai bien aimé la démarche et l'esprit. Et, alors que dans l'union européenne, beaucoup de vapoteurs ont été étonnés, agaçés, voire énervés face à une directive qui multiplie les déchets, notamment les fioles, alors que dans le même temps, les politiques nous sortent l'écologie à toutes les sauces. Au moins cette initiative permet de faire, sans se forcer, un geste. Et penser que l'on peut sortir du tabac, certainement faire du bien à sa santé, et en même temps, ne pas produire trop de déchets et en plus participer (un peu) à la préservation des côtes est somme toute assez réjouissant.

Bonne vape à toutes et tous !

Une démarche que je trouve également bien sympa

Je découvre cet article, à la suite de la conversation de ce matin avec Franck dans mon post de présentation. J'ai cherché des infos.
C'est une initiative louable mais limitée visiblement aux pods de l'entreprise qui est une enseigne de vente en Nouvelle-Zélande.


Entre campagne de pub et volonté réelle de changer les choses, un mix de tout ça ?
Que pensez-vous des déchets dans la vape ? Et de cette initiative ?

@Zoule :

Merci pour la précision, effectivement, je n'avais pas perçu que cette entreprise ne s'adressait qu'à ses propres clients.

Entre campagne de pub et volonté réelle de changer les choses, un mix de tout ça ?

Très certainement un mix de tout cela. Je rajouterai une troisième hypothèse : les actes d'achat de certains consommateurs. Un certain nombre de gens souhaitent avoir une démarche plus responsable, plus maîtrisée, peut-être plus "écologique", même si j'ai un peu de mal avec ce terme lorsqu'on parle d'un achat.
Cette prise de conscience se ressent dans les achats et beaucoup d'industriels l'ont bien perçu. Il suffit de se rendre dans un hypermarché et toutes les grands groupes de l'industrie agroalimentaire font maintenant des produits "bio". Ils suivent donc une tendance ou essayent de la précéder dans le but évidemment de se remplir les poches, même si certains sont peut-être sincères.