Fumeurs : ne vous laissez pas enfumer par l'OMS !

Lorsque la vape est apparue dans nos contrées, il n'a pas fallu attendre bien longtemps pour que diverses organismes de santé bien attentionnés tirent la sonnette d'alarme. Dès 2008, en fait. Dès les premiers mois de présence en Europe.
Par exemple, l'AFSSAPS, agence française du médicament et des produits de santé, rebaptisée prestement ANSM suite au scandale du mediator, sous-entendait presque que nous pourrions nous enivrer avec les liquides (cf. ici). Le propylène glycol peut effectivement provoquer des sensations d'ivresse chez certaines personnes, mais le phénomène est quand même très rare.

Toujours la même année, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) n'était pas en reste et se faisait déjà très affirmative : la vape n'aide pas à arrêter de fumer et peut être nocive (lire ici).

Ensuite, elle a continué sur sa lancée. En 2010, elle s'insurgeait contre la vape qui, affirmait-elle, "sabotait sa stratégie de lutte contre le tabac" (cf. ici).  Étrange, non ? Si vous avez arrêter le tabac grâce à la ecig, vous êtes rangés au rang de saboteur !

Le seul fait d’émettre ces avis dégoulinants d’un catastrophisme alarmant était déjà un signe. En effet, en 2008, il y avait bien peu d’études sur le sujet, bien peu de données et pas de retours d’expérience. Les vapoteurs désireux de savoir ce qu’ils inhalaient devaient parcourir le web à la recherche du moindre renseignement sur le propylène glycol, la glycérine végétale, la nicotine ou les arômes. Comment dès lors un avis pouvait être pertinent et étayé, même émis par une institution a priori compétente, devant un manque criant de connaissances ?  

Malgré l’agacement de la communauté des vapoteurs devant un tel pessimisme, on se disait que c’était juste de l’ignorance, une volonté très forte de protéger les utilisateurs ou alors une méfiance légitime face à une nouvelle méthode qui prospérait en dehors de tout circuit médical classique. On se disait cela allait s’arranger avec le temps et avec la multiplication des études.

Avec les années, le succès de la vape ne se démentit pas. Des centaines de milliers de fumeurs en France, des millions dans le monde franchirent le pas, souvent entraînés par le bouche à oreilles. Les produits de sevrage classiques et validés par les autorités sanitaires du monde entier commencèrent à voir leurs ventes stagner, voire baisser. Alors, les experts en tabacologie, les chercheurs, les médecins, les professeurs de médecine ne purent que constater le phénomène qu’aucun d’entre eux n’avaient prédit. Mus par la curiosité scientifique, même si certains n’ont pas caché leur scepticisme initial ou leurs doutes, certains d’entre eux se sont penchés sur ces drôles d’outils.

Parmi ces professionnels de la santé travaillant en France, on peut citer :
- Luc DUSSART, le premier expert en tabacologie qui étudia la vape. Il ne cessa de dénoncer les erreurs, voire les mensonges prononcés sur les vaporisateurs (cf UnAirNeuf.org) ;
- Jean-François ETTER, docteur en sciences économiques et sociales suisse qui s’est spécialisé dans les questions de la dépendance. Il dirige le site stop-tabac.ch. Il a publié en 2013 le premier livre en français sur la vape intitulé la vérité sur la cigarette électronique ;
- Jacques LE HOUEZEC, tabacologue, conseiller en santé publique et en dépendance tabagique. Il est aussi vice-président du comité national contre le tabagisme. Il tient aussi un blog jlhamzer.over-blog.com sur lequel on trouve de nombreux articles concernant la vape ;
- le Dr Philippe PRESLES, tabacologue qui publia le deuxième livre français sur le sujet en 2013. Le titre est particulièrement explicite : La cigarette électronique : enfin la méthode pour arrêter de fumer facilement ;
- le Pr MOLIMARD, qui est un des pionniers de la recherche tabacologique en France. Il publia un texte particulièrement riche sur la vape que je ne peux que vous conseiller de consulter (cf. ici) ;
- le Pr DAUTZENBERG, pneumologue exerçant à l’hôpital de la Salpêtrière, président de l’Office français du tabagisme (OFT). L’OFT publia le premier rapport d’envergure sur la vape en mai 2013 (à lire sur ce lien), c'est la deuxième référence). En France, ce rapport fait référence. Le Pr Dautzenberg est d'ailleurs souvent interrogé par les médias dès qu’il est question de cigarettes électroniques. Lui aussi s'est fendu d'un bouquin sorti en 2014 : L'e-cigarette pour en finir avec le tabac ?.
- le Dr Dominique DUPAGNE. Il est médecin généraliste et n'est pas spécialisé dans la dépendance tabagique. Cependant, il est administrateur du plus gros forum sur la santé atoute.org qui contient une section sur le tabac et le sevrage. A ce titre, il intervient de temps à autre dans les médias ;
- le Dr Gérard MATHERN, président de l'institut Rhône Alpes de Tabacologie qui intervient sur le sujet régulièrement comme ici

Mais ils sont des centaines de praticiens à s’être penchés sur la question et leurs conclusions se recoupent globalement :
- la vape est une méthode permettant de se passer du tabac qui peut être aussi efficace que les méthodes de sevrage classique, voire plus ;
- pour un fumeur, il vaut mieux largement vaper que fumer sur le plan de la santé.

Voici quelques propos tenus par ces experts :

«  Fumer, c’est un peu comme prendre l’autoroute à contresens. Vapoter, c’est rouler à 140 km/h au lieu de 130 km/h. » Pr DAUTZENBERG


« La cigarette électronique a un bel avenir, et je le crois heureux pour la santé publique. » Pr MOLIMARD (cf. le texte du Professeur dont j'ai fourni le lien un peu plus haut).

« Toute alternative au tabac sauvera de nombreuses vies. La santé publique et la liberté des citoyens consommateurs doivent rester nos objectifs principaux. » Jean François ETTER


« Ce dont on est certain c’est que dans l’échelle des risques, la cigarette électronique est moins dangereuse que le tabac, l’alcool, les produits gras, les aliments sucrés. Un fumeur sur deux meurt des causes du tabac. » Dr PRESLES

"Certes, la cigarette électronique n’est pas une panacée, elle ne fonctionne pas chez tout le monde, mais le progrès qu’elle apporte dans la lutte contre le tabagisme dépasse tout ce que nous connaissions jusqu’ici." Dr DUPAGNE (avis complet à lire ici)

" [...] tous les jours où certains fumeurs pourraient déjà remplacer leur tabagisme par un comportement moins dangereux (snus ou cigarette électronique) coûtent des centaines de vies humaines de par le monde (environ 200 morts par jour en France). Tant que l’on ne dira pas la vérité aux fumeurs, qu’on leur fera croire que d’autres produits sont dangereux en les interdisant (c’est aussi le cas en Australie) alors qu’ils pourraient peut-être leur sauver la vie, le nombre de morts à cause du tabac ne fera qu’augmenter." Jacques LE HOUEZEC  (lire l'intégralité ici)

Certains organismes de santé ont aussi émis des avis plutôt rassurants (lire ici par exemple).

Terminons par un extrait de l’appel des 100 médecins lancé à la ministre de la Santé, appel coordonné par le Dr PRESLES :

« Les principaux poisons produits par la combustion du tabac et contenu dans sa fumée sont le monoxyde de carbone ou CO responsable d’infarctus du myocarde et d’attaques cérébrales, les goudrons cancérigènes, et les particules fines aboutissant à des bronchites chroniques obstructives. Les dangers de la cigarette électroniques sont infiniment moindres que ceux du tabac. […] La cigarette électronique peut être conseillée à tout fumeur désireux d’arrêter de fumer […]. » (à lire ici entre autres)

Si ces sommités ont prononcé des avis souvent très favorables, allant même, pour certains, jusqu’à dire qu’on peut « conseiller » la vape, ils ne l’ont pas fait lors de malencontreux moments d’égarement ou par abus de propylène glycol. D’autant que, répétons-le, ils n’étaient pas forcément acquis à la cause au début. Ils s’appuient sur les retours d’expérience de leurs patients et sur des études scientifiques. On en dénombre plus d’une centaine à l’heure actuelle ! Le Dr Farsalinos, connu pour travailler régulièrement sur la vape, propose même une synthèse des principales conclusions. (cf. ici : attention, le lien fourni ici est un lien de distributeur mais ce dernier a fait un bon travail de traduction en français.)

Qui plus est, ces études sont prioritairement réalisées par des experts indépendants, des chercheurs universitaires notamment, qui ont une vision scientifique. Ils ne sont financés ni par les fabricants de cigarettes, ni par les buralistes, ni par les laboratoires pharmaceutiques ni même par les fabricants de vaporisateurs pour réaliser ces études.

Bien entendu, les résultats de ces travaux doivent souvent être confirmés ou infirmés, la vape est encore jeune et de nombreux points restent encore à éclaircir. Mais des données, des études, des résultats, nous commençons à en avoir. Et si des experts se prononcent de manière favorable, inutile de vous dire que les résultats de ces études sont dans l’ensemble positifs.

Le tout est renforcé par le retour de vapoteurs qui affirment que la méthode donne des résultats, que l’on peut arriver à se passer du tabac avec des vaporisateurs et qu’ils se sentent bien mieux que lorsqu’ils fumaient. D'ailleurs, dans les premières années, avant l’intérêt médiatique de 2012 et l’apparition de quelques spots publicitaires, ce sont les retours de vapoteurs satisfaits qui amenèrent des fumeurs à se renseigner et éventuellement franchir le pas.

Alors, résumons : nous avons des vapoteurs qui affirment que la méthode fonctionne - même si ce n’est pas non plus une méthode miracle assurant 100% de réussite, ne nous leurrons pas - nous avons des études de plus en plus nombreuses et qui vont presque toutes dans le même sens. Enfin, nous constatons que des centaines d’experts spécialisés dans la dépendance tabacologique émettent des avis favorables.

Face à ce mouvement, les vapoteurs étaient plutôt optimistes. Devant tant de nouvelles souvent rassurantes, comment des organisations de santé soucieuses du bien-être des citoyens du monde entier pourraient ne pas prendre acte de cet état de fait ?  

Pourtant, certains organismes étatiques ou ayant l'oreille de nos gouvernants, continuent inlassablement de diffuser des messages toujours aussi alarmants, pointant avec force les hypothétiques problèmes qui pourraient survenir, passant bien vite sur les gains possibles qu’un fumeur pourrait obtenir en passant à la vape. Les conclusions de l’OMS émis récemment en sont la parfaite illustration (cf. ici). Finalement, le fond du discours ne change pas depuis 2008.

Pourquoi donc un tel fossé dans les opinions exprimées par des professionnels ? Pourquoi alors que de plus en plus de praticiens reconnaissent que les vaporisateurs peuvent jouer un rôle non négligeable dans la lutte contre le tabac, l’OMS persiste dans sa défiance qui ressemble furieusement à une terrible accusation ?

Certains objecteront que l’OMS ou l’ANSM au niveau franco-français appliquent tout simplement le principe de précaution et que, après tout, ils sont dans leur rôle.

Faux.

Si alerter l’opinion sur des dangers potentiels est assurément une bonne chose, encore faut-il expliquer que ce n’est qu’une potentialité et ne pas tenter de faire passer cela pour une vérité révélée. Si exprimer des doutes et des réserves est en soit totalement respectable, encore faut-il ne pas oublier les points positifs lorsque ceux-ci existent. Si des études sont publiées sur la vape, encore faut-il les prendre en compte et ne pas faire croire à l’opinion qu’il n’y en a pas. Si des vapoteurs du monde entier affirment qu’ils ont réussi à vaincre le tabac avec la vape, voire même à arrêter la vape, encore faut-il ne pas nier leurs existences et affirmer péremptoirement qu’on ne sait pas si on peut vraiment arrêter le tabac avec les vaporisateurs.
Aussi, le principe de précaution n’a jamais consisté à cacher sous le tapis les éléments qui ne conviennent pas dans une démonstration.

De plus, signalons que l’OMS déconseille la vape aux femmes en âge de procréer, sous prétexte que la nicotine serait dangereuse. Outre le fait qu’il faudrait définir exactement quels sont les risques supplémentaires causés par la nicotine pour une femme par rapport aux hommes, que font celles qui fument et n’arrivent pas à arrêter avec les méthodes préconisées ? Faut-il qu’elles continuent à fumer et s’envoyer du monoxyde de carbone, du goudron, du polonium 210 ou de l’arsenic, tous ces éléments étant présents dans la volute des cigarettes ? Tous ces éléments dont on sait que ce sont eux qui causent maladies et mortalité ? Quid de celles qui diminuent leur taux de nicotine jusqu'à zéro avec la vape ? Est-on dans le principe de précaution ou l’irresponsabilité ?

Enfin, l’OMS conseille d’interdire les arômes, sous prétexte que cela attire les adolescents. Va-t-on interdire le tabac, les films et sites pornographiques, l’alcool, les voitures, sous prétexte que cela attire les adolescents en manque de sensations fortes ?
Sur quels principes démocratiques interdit-on à des adultes de vaper des liquides fraise, banane, poire ou Pina-Colada tant qu’ils ne dérangent et ne nuisent à personne ?
Interdire les arômes ne va pas forcément éloigner les mineurs. D’autant que, dans certains pays, comme la France, la vente de produits de la vape leur est déjà interdite. Commençons donc par faire respecter cette disposition avant de supprimer les arômes. Car, n’en doutons pas, cela pénalisera aussi, et surtout, les vapoteurs désireux de ne pas replonger dans le tabac ainsi que les fumeurs qui auront moins d'intérêt à s'y mettre. Alors est-on dans la volonté de protéger les mineurs ou bien dans la fausse excuse pour rendre la vape inopérante tout en affirmant hypocritement qu'on ne l'interdit pas ? Car, il est évident que sans la plupart des parfums, l'outil perd de son intérêt.

Lorsque nous commençons à avoir des témoignages d’ex-fumeurs qui ont réussi à arrêter et le tabac et la vape, qui pourra raisonnablement affirmer que ce n’est pas une excellente chose pour la santé ? Qui peut nier alors que c’est positif ? Qui va s’y opposer ? Au nom de quels principes ?
Lorsque des vapoteurs affirment que leur santé s’est nettement améliorée depuis qu’ils ne fument plus, quelquefois examens médicaux à l’appui, qui pourra affirmer que ce n’est pas encourageant, même s’il convient évidemment de rester prudent sur les conséquences éventuelles d’un vapotage sur du long terme ?

Si des experts indépendants ayant étudié la question, affirment que c’est un outil intéressant, pourquoi faire la sourde oreille ?

Focaliser uniquement sur les problèmes potentiels en oubliant les points positifs, c’est évidemment faire preuve de partialité. Ce n’est en aucun cas le signe d’une quelconque objectivité. Et si l’on ne fait pas preuve d’objectivité, c’est que l’on n’est pas neutre.

Voilà, le fait est là : l’OMS, comme d’autres organismes du même accabit, n’est pas neutre. Elle a donc choisi son camp. Manifestement, ce n’est pas celui des vapoteurs.  Et tant pis pour les fumeurs n’arrivant pas à arrêter avec les méthodes classiques, qu’ils persistent ou meurent ! Tant pis pour les vapoteurs ayant réussi à éliminer le tabac qui tue des millions de personnes tous les ans dans le monde. Ils seront montrés du doigt comme les fumeurs. Ils n’avaient qu’à jeter leur dévolu sur les patchs, les gommes ou le champix.

Chacun choisira les raisons qui poussent l’OMS à lutter contre la vape : intérêt corporatiste, intérêt financier, incompétence, incapacité à évoluer ?

Wikipedia nous fournit une piste intéressante :

"L'OMS a également été critiquée pour sa gestion de la crise du virus H1N1. Selon un rapport de Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, « De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer eu égard des principales décisions relatives à la pandémie. » Les conflits d'intérêts d'experts ont aussi été critiqués." (lire ici)


Chacun conclura. Peu importe les raisons que nous ne connaîtrons peut-être jamais. Seuls comptent les actes et les faits. Ainsi que leurs conséquences.

Cependant, à l’heure où incontestablement les conclusions hâtives, les préjugés, voire la désinformation, vont fonctionner à plein régime, ne vous focalisez pas sur le dernier avis entendu dans les médias, qu’il soit alarmiste, comme celui de l’OMS, ou au contraire très élogieux.

Renseignez-vous par vous-mêmes, lisez les livres de Jean-François Etter ou du Dr Presles, lisez le rapport de l’OFT ou les conclusions des études existantes. Demandez aux vapoteurs eux-mêmes, y compris ceux qui ont échoué dans leur tentative. Recueillez leurs témoignages. Parcourez les sites ou les forums qui ne manquent pas d’avis, d’actus et qui suivent les informations sur la santé.

Bien sûr, cela vous prendra peut-être un peu de temps et un peu d’argent. Mais connaître le « pour » et le « contre », permet de se forger un avis éclairé. Et surtout de se forger SON opinion.
Aussi, je lance ce message : toi, le fumeur, qui es intéressé par la vape mais qui hésite à franchir le pas suite aux déclarations de l’OMS relayées à vitesse grand V par les médias, ne sois pas dupe. Cherche par toi-même, réfléchis et fais ton propre choix en toute connaissance de cause ! Sois l'acteur de ta santé et donc de ta vie.

Merci d'avoir lu jusque là


Pour aller plus loin :
- consultez fil de discussion dans lequel ludovic.g rassemble des éléments sur le financement et le fonctionnement de l'OMS
- le rapport de l'OMS qui m'a servi à réaliser ce billet est disponible en français à cette adresse

P.S : Merci à Bafien pour nous avoir fourni le lien de wikipedia sur l'OMS ( à découvrir ici)

merci Franck

Merci Marcuche

Je ne sais pas si cela pourra servir à quelque chose. Probablement pas des masses. L'OMS a un pouvoir de communication que le forum n'a pas. Et le mal est fait. Mais on peut espérer que cela aide des gens cherchant à se faire leur propre opinion. Aussi, une synthèse de diverses opinions sur la santé et la vape ne me paraît pas surperflu. Mais bon...

Merci à Bafien pour son post sur l'OMS qui m'a servi

Superbe

Déjà si on partage ce texte sur les réseaux sociaux, il peut avoir un impact non négligeable

C'est pur, c'est grand, c'est beau comme l'antique !

Merci Franck de mettre chronologiquement tout à plat, c'est intéressant

@ ludo :

Pas de souci pour le partage. Le texte est à la disposition de tout le monde

@ copiercoller :

Pur ? Honnête, j'espère

@ gardane :

Merci. En fait, c'est toi qui m'a inspiré l'idée quand tu as exprimé ton désarroi à expliquer les choses à d'autres. Tu as un lien à leur fournir, si tu veux.

C'est bien comme cela que je l'ai vu

merci , c'est clair

Mais que ces satané fumeurs se contentent de mourir d'un cancer. On a de très chers médicaments à leur vendre !

Merci pour ce texte bien argumenté ! C'est une bonne synthèse !

Très bonne synthèse et je rajouterai "belle plume" !

Je me suis permis de copier-coller sur mon mur facebook, j'ai supprimer le nom de l'auteur et je n'ai pas cité le forum. Si cela pose problème, je le supprimerai de suite.

tu peux citer le forum etc...* ça tourne déjà sur FB par ailleurs

*et même Franck autant donner ses sources et l'auteur quand on cite

si on me les demandes, je les donnerai. En attendant je fais tourner dans ma petite liste de 400 contact fb

Non, non, aucun souci, Vincent.   Si le texte vous plaît, faites le vivre ! Mais effectivement, citez le forum que je n'ai pas à me battre pour convaincre que c'est notre texte.

ok je le met en premier commentaire alors.

et hop, je fais tourner

Pendant ce temps là les ventes de tabac continue de baisser tout comme celles de substituts ou du Champix et le nombre de consultation en tabacologie !!!

Mais pourquoi donc ???? Les fumeurs auraient-ils trouvés eux même une solution ?

Ca y est, ça tourne sur FB, merci

source : http://www.ofdt.fr/

C'est sur, pas moyen d'intégrer la vape dans ce tableau... dommage.

merci leio

Bravo ! ... J'ai aimé sur FB et j'ai partagé !