[ARTICLE 25/03/21]lesechos.fr : refonder la fiscalité sur le tabac

Lesechos.fr nous fait part ici des réflexions certainement très pertinentes d'un groupe de réflexion libéral, irefeurope. Je dis certainement car, hormis le titre, je n'ai quasiment rien compris à l'article.

Bon, à part que ce thinkthank souhaiterait une taxation des produits du tabac et assimilés en fonction des risques encourus à l'instar de ce que pratique l'Angleterre. On peut donc supposer que ce serait plutôt bien pour les vapoteurs. Mais les produits de la vape sont déjà taxés, on paye la TVA à 20 %.

" l'égalisation du traitement fiscal de la cigarette électronique et du tabac à chauffer,"

Donc, comme le tabac à chauffer est classé comme autre produit du tabac, je suppose qu'il a les taxes des produits du tabac, cela signifie donc soit une augmentation des taxes pour les produits de la vape, soit une baisse des taxes sur les produits du tabac à chauffer.

"une réflexion sur un système assurantiel responsabilisant"

Là, j'avoue ne pas avoir compris. Si quelqu'un sait ce dont il est question...

Bref, un article que j'ai trouvé très nébuleux et peu précis. A moins que ce soit les pensée de ce groupe de réflexions qui finalement soient un brin nébuleuses

Bonne lecture et bonne vape !

@JOUJOU :

Pour commencer il serait mieux d'indiquer ...

Mais sens-toi libre d'ajouter ce que tu veux à mon post original. Il n'y a aucun souci ! C'est un forum qui ne vaut par l'apport de tout le monde. Pas que du staff

Si je n'ai pas trouvé l'article super clair et il est difficile de savoir à quelle sauce les produits de la vape peuvent être placés en lisant ce texte assez sibyllin, il pose en substance la question du poids de tous ces groupes de réflexion, ces think-thank qui bombardent les politiques de suggestions, de propositions. Je n'ai pas de réponse à cette question mais elle mérite néanmoins d'être posée.
J'ai été surpris par une phrase de l'article :

"L'Iref veut passer d'une politique d'abord de finance publique à une politique mettant vraiment en avant la santé publique."

Alors le verbe "vouloir" est probablement malheureux. Mais comment cela "il veut" ? De quel droit en démocratie un groupe de réflexion inconnu de 99,9% du peuple veut quelque chose ? Comment un ou une journaliste qui vit dans une démocratie peut écrire "iref veut" sans problème ?